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râteau, pelle et compagnie

  • Photo du rédacteur: Sylvia Kersanté
    Sylvia Kersanté
  • 4 sept. 2020
  • 2 min de lecture

Nous sommes encore et toujours à la recherche de solutions pour avoir un peu plus d'eau pour nos cultures; n'oublions pas que l'eau c'est la vie, et que sans cet élément essentiel, il va être compliqué de faire du maraichage.

Nos recherches nous ont amenés... chez nos voisins, qui nous ont proposé un début de solution. Sur leur terrain se trouve une "pêcherie" (expression du coin qui décrit un lavoir en gros), alimentée par une source "qui ne se tarie jamais", ce que nous avons constaté cet été; en pleine sècheresse, elle coule moins (environs 2000l d'eau/ jour), mais elle coule tout de même.


Le deal consiste à rénover ladite pêcherie, pour qu'elle soit étanche, afin que le trop plein, vienne directement chez nous, grâce à un tuyau (qui est déjà en place).

Nous avons commencé par vérifier que le trop plein fonctionnait vraiment (ce qui est bien le cas), et c'est là que nous avons creusé de la vase, en retrouvant les berges de la "cressonnière".



Puis nous avons vidé le grand bassin et là, il a fallu curer; ce fut un grand moment de bonheur (si si réellement). Ce n'était même pas fatiguant, car, en vrai c'est le jardinier des voisins qui l'a fait en un temps record (il parait qu'il avait hyper envie de le faire depuis longtemps, on n'a pas eu le cœur de s'interposer)



Pour l'instant ce chantier est en pause car on attend que le fond sèche encore plus, pour finir de curer (cette fois c'est nous qui nous y colleront). Ensuite il faudra refaire des joints entre les pierres, et enfin, on pourra remettre en eau.



Et histoire de ne pas rester les bras croisés en attendant que le chantier se fasse toit seul, nous avons commencé les bacs de culture, enfin, le 1er bac de culture.

On a fait dans le local: le cadre est constitué de troncs d'arbres du terrain (c'est l'avantage d'avoir une foret privée: il y a déjà du bois au sol)



Pour les remplir aussi on est resté dans le local; la première couche c'est du BRF des chênes de l'allée que l'on a élagués le mois dernier



par dessus, une couche d'herbe tondue dans la prairie



puis une couche de vase (oui oui, celle des voisins, vous avez bien suivi)



Par dessus viendra une nouvelle couche de mulch, et peut être une autre de BRF, mais je me suis arrêtée là, par ce que franchement, j'avais vraiment mal aux bras!

 
 
 

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